dimanche 24 février 2008

Soka Gakkai => ACSBN => mouvement religieux Soka

L’ORGANISATION DU MOUVEMENT CULTUEL EN FRANCE

Le mouvement Soka est présent dans plus de 190 pays et territoires. En France, l’organisation et le fonctionnement du culte du bouddhisme de Nichiren sont établis en conformité avec la « Constitution Soka pour le culte du bouddhisme de Nichiren » dont on trouvera le texte en annexe. Ce texte de nature ecclésiologique au sens du droit des cultes en France – véritable charte interne d’organisation et de fonctionnement du culte – précise notamment que :

« Article 20 : Au niveau mondial, l’unité de la croyance est assurée par une autorité centrale qui, dans le respect de la collégialité et des particularités nationales, veille sur les intérêts spirituels des croyants. Cette autorité centrale est formée par le Consistoire mondial Soka du bouddhisme de Nichiren.Le Consistoire mondial Soka du bouddhisme de Nichiren, dont les activités sont centralisées à Tokyo au Japon, procède notamment à la désignation des ministres du culte.

Article 21 : En France, l’unité du culte et le respect de la croyance ainsi que la pratique bouddhique du culte du bouddhisme de Nichiren sont assurés sous la direction et la responsabilité du Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren, en communion avec le Consistoire mondial.Le Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren est le garant des intérêts supérieurs du culte dans le pays.Les membres du Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren sont choisis et désignés, en raison de leurs qualités spirituelles et de leur expérience bouddhique, par le Consistoire mondial.

Article 22 : Dans chaque localité où existe une communauté de pratiquants et de sympathisants, les ministres du culte veillent à l’harmonie du culte dans toutes ses manifestations extérieures.
Ils président et célèbrent des offices, des cérémonies.
Les ministres du culte sont choisis et désignés, en raison de leurs qualités spirituelles et de leur expérience bouddhique, par le Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren, après approbation préalable du Consistoire mondial.

Article 23 : Le Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren peut, s’il le juge utile, constituer une ou plusieurs associations légales ayant capacité juridique, dans le but de faciliter l’exercice légal du culte.
Ces associations, soumises au respect des préceptes et à la direction spirituelle du Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren, lui servent d’instruments administratifs du séculier dans le respect du principe de l’adaptation des préceptes aux usages locaux (Zuiho bini).

En France, le Consistoire Soka du bouddhisme de Nichiren et les associations constituées pour le culte se conforment au régime légal des cultes dans le cadre de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l’Etat, et des lois subséquentes. »

Conformément au régime légal des cultes fondé sur la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l’État, les activités cultuelles du mouvement Soka sont exercées, d’un point de vue matériel, par une structure associative à caractère national, à savoir l’« Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren » dite A.C.S.B.N. (voir la brochure « Le droit du culte du bouddhisme de Nichiren », 2007, 90 pages,
http://www.consistoire-soka.fr ). Cette association cultuelle nationale dont le siège social est fixé 4, rue Raymond Gachelin, à Sceaux (Hauts-de-Seine) a adopté pour objet statutaire le texte ci-joint, tel que déclaré aux services préfectoraux :
« Conformément à l’article 20 de la loi du 9 décembre 1905, l’association a pour objet exclusif de pourvoir aux frais, à l’entretien et à l’exercice public du culte bouddhique basé sur l’enseignement révélé par le Bouddha Nichiren Daishonin, moine du XIIIe siècle (1222-1282) et en conformité avec la Constitution Soka pour le culte du bouddhisme de Nichiren. Dans ce cadre, elle assure l’exercice public du culte de ses membres et des pratiquants et sympathisants. Elle subvient aux frais et à l’entretien du culte, en particulier des temples et lieux de pratique cultuelle Soka du bouddhisme de Nichiren, du logement et la prise en charge, le cas échéant, des ministres du culte ainsi que des cérémonies liées à l’exercice du culte. »


Par ailleurs, les activités non exclusivement cultuelles du mouvement Soka du bouddhisme de Nichiren, à l’instar d’autres groupements religieux en France et dans le monde, sont organisées par des structures associatives indépendantes les unes des autres : l’Association Culturelle de France (ACSF) et l’Association pour le Commerce, l’Edition et les Prestations de service (ACEP), (voir ici la brochure précitée Le droit du culte du bouddhisme de Nichiren, 2007, 90 pages,
http://www.consistoire-soka.fr ).

samedi 23 février 2008

Billet d'humeur !


Un blog sur le cas particulier de la Soka Gakkai
Un blog sur le cas particulier des sectes en France
Un blog sur le cas particulier de la Soka Gakkai en France

TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIR SUR LA SOKA GAKKAI SANS AVOIR JAMAIS OSE LE DEMANDER !

Pourquoi autant d’incompréhension sur la Soka Gakkai ?
Pourquoi une telle désinformation sur la Soka Gakkai ?
Pourquoi un tel acharnement sur la Soka Gakkai ?


On aura tout entendu sur la Soka Gakkai : du vrai, du faux, tout et n’importe quoi, le meilleur et le pire.

Pour se faire une idée, sa propre idée, mais qui par définition n’est valable qu’à un instant T et donc évolutive.
Mais surtout se faire une idée juste !

La difficulté est :
De faire le tri entre le vrai et le faux
De faire le tri entre le subjectif et l’objectif
De faire le tri entre l’analyse et l’attaque

Dans ce phénomène sectaire en France, la difficulté est aussi le jugement a priori : La Soka Gakkai est une secte.
Cette conclusion hâtive, arbitraire, se fonde sur la base de témoignages anti-Soka Gakkai, de commissions, d’associations, de rapports mais sans analyse objective de la Soka Gakkai, sans laisser la place à un point de vue différent.
Les médias ne font que reprendre ces éléments fournis et viennent renforcer cette équation Soka Gakkai = secte.

Quel est l’intérêt de cette équation ?
Tout ce que l’on reproche aux sectes peut être poursuivi par la justice ! Alors si c’était si dangereux, on aurait dû interdire depuis longtemps la Soka Gakkai.
Depuis 40 ans, que le mouvement Soka existe en France ! Si la Soka Gakkai était criminelle, elle aurait dû être condamnée par la justice. Ce n’est pas le cas ! Pourquoi car la seule chose qu’on nous reproche est de nous réunir, de prier et d’agir sur la base de la philosophie bouddhique de Nichiren Daishonin. Ecole bouddhique du 13e siècle dont la Soka Gakkai poursuit la tradition depuis près de 80 ans, reconnu officiellement par le gouvernement japonais comme organisation religieuse. (www.soka-bouddhisme.fr)

Mais, voilà la sentence ! Soka Gakkai = secte.
A partir de là, tout ceux qui diront le contraire, ne pourront pas le dire sans être jugé, préjugé à la solde de la secte.

Même des chercheurs, sociologues, journalistes ou simples citoyens intéressés par la Soka Gakkai, par le bouddhisme ont pu peut-être expérimenter ce genre de situation.

Ainsi la pensée unique : la Soka Gakkai = secte s’est créée

Bien que la situation ait évolué, le mal est fait. Depuis plus de 20 ans, cette pensée unique la Soka Gakkai = secte s’est installée dans les esprits.

Depuis, la Soka Gakkai est la cible d’attaques par des personnes organisées dans ce but ou par les médias. Alors que par ailleurs la Soka Gakkai, le président de la SGI, et ses pratiquants sont reconnus officiellement pour leurs contributions positives dans de nombreux pays dans les domaines culturel, universitaire et pour une coexistence pacifique à travers des échanges internationaux. (www.sgi.org)

Depuis peu, les médias et les institutions se sont rendus compte de la dérive créée. La Soka Gakkai n’est pas une secte. Une étude approfondie du phénomène a permis de conclure qu’il n’y avait aucun élément fondé pour cette accusation. De plus, concernant la Soka Gakkai
qu’aucune dérives sectaires n’a pu être constaté par la police ou par la gendarmerie selon le Ministère de l’intérieur. (www.reponses-soka.fr)

Alors à qui profite le crime ?

Pourquoi autant d’incompréhension sur la Soka Gakkai ?
Pourquoi une telle désinformation sur la Soka Gakkai ?
Pourquoi un tel acharnement sur la Soka Gakkai ?

Bien sûr, certaines personnes n’aiment pas la Soka Gakkai, ne supportent pas nos activités, n’adhèrent pas notre philosophie bouddhique, et c’est leur droit, un droit fondamental.
Mais c’est aussi notre droit fondamental d’aimer la Soka Gakkai, de participer à ses activités et de croire dans cette philosophie bouddhique.

Alors pourquoi tant de haine … ?

vendredi 22 février 2008

Pourquoi ce blog perso sur la Soka Gakkai ?

Parce que je voulais participer au débat et rééquilibrer les échanges sur la question.
Il me semble important d’apporter des points de vue différents afin que sur cet espace public d’Internet, les internautes puissent avoir différents « sons de cloche » !

En tant que pratiquant moi-même du bouddhisme de Nichiren au sein de la Soka Gakkai ou mouvement Soka, il me semble important aussi de contribuer au débat de manière dépassionnée, au delà des rumeurs ou fantasmes, même s’ils sont inévitables…..

Je souhaite donc apporter d’autres éléments d’information afin de les recouper et de dégager la vérité. Mais bien sûr, chacun a le droit à sa vérité d’où d’ailleurs la complexité de toute société humaine…
En tous cas, la liberté de chacun étant légitime tant qu’elle n’empêche pas celle des autres.

Ainsi, j’ose prendre cette liberté, en tant que pratiquant pour m’exprimer sur la Soka Gakkai, les sectes en France et la Soka Gakkai en France.

Malgré les critiques, les a priori, les préjugés, j’ose prendre cette liberté pour tenter d’expliquer Pourquoi autant d’incompréhension sur la Soka Gakkai ? Pourquoi une telle désinformation sur la Soka Gakkai ? Pourquoi un tel acharnement sur la Soka Gakkai ?